C'est dans le domaine astronomique qu'il est surtout connu pour avoir défendu les positions de l'Église face à Copernic et Galilé. Il est un personnage important pour saisir l’évolution complexe des positions de l’Église officielle face la révolution copernicienne. Il aurait suivi un chemin différent, si le devoir d’obéissance ne l'avait contraint à refuser Copernic. Même équivoque dans ses relations avec Galilée : dans l’Ant-Aristarchus (Anvers, 1631), il ménage Galilée et celui-ci en conçoit de grands espoirs ; mais dans la Vesta (1634), il lui porte un coup fatal en publiant la lettre du nonce apostolique annonçant sa condamnation.
Bourse d'études
Il créa plusieurs bourses dont une bourse pour financer les études secondaires et universitaires dans sa famille.
C'est son neveu Eustache de Froidmont (1614-1671), lui aussi professeur à l'université de Louvain puis doyen de la cathédrale de Tournai, qui en fut l'exécuteur testamentaire.
Cette bourse est toujours octroyée plusieurs siècles après et malgré toutes les vicissitudes de l'histoire. C'est actuellement la Province de Hainaut qui gère cette bourse au profit des descendants, douze générations après Libert Froidmont.
La chapelle d'Hallembaye dédiée à Libert Froidmont